croquer 100 plats á lisbonne e-book en anglais.

Croquer à pleine dents 100 plats à Lisbonne….c’est ce que propose le e-livre de Zara Quiroga, « Lisbon in 100 bites ». Plutôt que de  soumettre au lecteur une énième liste de restaurants à connaitre absolument dans la capitale, Zara a opté pour présenter les plats typiques que l’on peut déguster, et où on peut les rencontrer.

La rubrique « petiscos », c’est à dire le grignotage, les petits encas, le dépannage… cite 30 références, rien que ça. C’est un des vrais plus de « Lisbon in 100 bites », « croquer à pleine dents »

Le e-livre présente les « petiscos » comme des tapas, mais  dans la réalité, ni les plats ni la manière de les déguster ressemblent aux grignotages du pays voisin.  A Lisbonne comme dans le reste du Portugal, on préfère et de beaucoup, s’asseoir à table et commander un plat copieux et parfumé, que l’on déguste de préférence en compagnie, quitte à prolonger le déjeuner et le dîner.

Toutefois et surtout en ville, le « snack », le « sur-le-pouce », l’encas et la (anti) petite faim se développent. L’occasion de découvrir des spécialités portugaises : les palourdes à la bolhão pato, le chouriço grillé, les gésiers de volaille….

Lisbon in 100 bites ou croquer à pleine dents 100 fois à Lisbonne vous invite de belle manière à connaitre les petits et grands plats de Lisbonne- et d’une grande partie du Portugal.

Zara Quiroga l’auteure du e-livre a crée avec son mari un blog de voyages et de cuisine, Backpackme, qui se taille un franc succès. La curiosité du couple,  leur gourmandise, alliées à un vrai sens de la communication rendent les choses appétissantes.

Un livre uniquement en anglais- hélas, mais  joliment illustré.

« Croquer à pleine dents 100 plats à Lisbonne » ou Lisbon in 100 bites  est disponible on line pour 9,99 euros. Format PDF.

http://www.lisbonfoodguide.com/

https://gum.co/lisbon100

https://bkpk.me/

 

 

 

une priomenade de 1h30 sur le Tage ábord du Princesa do Tejo

Yellow boat, c’est le bateau aux couleurs de la compagnie Carristur qui à Lisbonne gère entre autre les célèbres tramways.

Avec Pincesa do Tejo, la Princesse du tage, Carristur renforce son offre sur le fleuve, et propose ainsi de découvrir Lisbonne sous un angle différent.

La Princesse de Yellow Boat tient désormais compagnie au São Paulus, pour un parcours d’1h30 environ, de Belém  jusqu’au Terreiro do Paço, aller et retour, avec passage sous le pont 25 avril et traversée vers Trafaria rive sud.

Les Yellow boat sont en système On Hop Off, monter-descendre, qui permet de faire la boucle comme on le souhaite en embarquant et débarquant à Terreiro do Paço, à Trafaria et ou Belém, durant la validité du billet qui est de 24 heures.

Le Princesa do Tejo ets un ferry qui peut embarquer jusqu’à 150 personnes, et peut être utilisé à des fins événementielles.

Les départs  de Terreiro do Paço ont lieu à : 10h00, 11h00, 13h00,14h00,15h00, 17h00 .

Depuis Trafaria, rajouter 40 minutes

Les départs de Belém ont lieu à: 11h00,12h00,14h00,15h00,16h00,18h00

Prix du billet adulte: 20 euros et 10 euros pour les enfants. Carristur offre aussi des billets combinés, bus+tram+ bus sightseeing+bateau à des prix intéressants et à validité variée selon les combinaisons, pour multiplier les expériences et profiter de la capitale.

Tous les resneignements grâce au site yellowbustour, en 5 langues dont le français.

https://www.yellowbustours.com

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acés au pont 25 avril á Lisbonne

Pilier 7 … Pilar 7, une expérience à couper le souffle. C’est à 80 mètres au-dessus du sol, que le Pilier du pont 25 avril dévoile sa plateforme en verre. Sous les pieds du visiteur, le vide.

Et à hauteur des yeux, les automobiles qui circulent sur le tablier. Devant soi et en contrebas les voitures qui elles circulent sur l’avenue da India: la sensation de flotter entre deux univers.

Vertigineuse ascension- en toute sécurité–  qui offre une vue inédite sur la Lisbonne orientale. Le regard porte jusqu’à l’embouchure du tage. Et depuis l’autre plateforme, sans transparence sous les pieds cette fois, on peut admirer les toits rouges des quartiers d’Alcântara  et Santo Amaro.

L’ascenseur est externe, et en partie transparent, il permet de voir défiler les étages d’accès à la plateforme.

La montée se fait en étapes. Un premier ascenseur permet d’accéder aux salles latérales ou l’on peut admirer les câbles qui soutiennent l’ouvrage d’art. Le bleu environnant donne la sensation d’être au milieu du Tage. Il faut ensuite sortir et contourner le pilier pour entrer dans  le deuxième ascenseur, celui qui est construit à l’ extérieur du pilier.

A la sortie, au niveau billetterie, une expérience de réalité virtuelle est proposée : elle permet d’accompagner les employés qui prennent soin de la santé du pont et surveille sa structure. Là encore une expérience vertigineuse, et l’accès virtuel à des endroits inaccessibles du pont.

Jusqu’à présent interdite au public, la montée au Pilier 7 garantit de fortes sensations.  Une expérience proche de celle que l’on peut faire au Golden Gate bridge de San Francisco, forte inspiration du pont 25 avril de Lisbonne..

Au sol  au long du parcours qui mène au Pilier 7, des disques de métal qui informent sur la construction du pont et sur le sens de la visite : très belle signalétique.

Les sacs à dos devront rester à la billeterie, et les portiques de contrôle garantissent la sécurité des visiteurs.

Pilier 7, une expérience différente.

Prix d’entrée : 6 euros. La réalité virtuelle demande un supplément de 1,5 euros.

Le pilier 7 est ouvert toute l’année-sauf le 25 décembre. De 10h à 20h de mai à septembre. Jusqu’à 18h  d’octobre à avril.

L’accès au Pilier 7 est à Alcântara, au niveau de l’Hôtel Vila Galé Opéra, juste avant le Centre des Congrès.

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Populi,le restaurant café Populi est extrêmement bien situé. Sur l’immense place de Terreiro do Paço, ou place du commerce comme on voudra, côté gauche lorsque l’on regarde le Tage.

C’est le dernier de la file de bars-restos du côté Est de la belle place piétonne. Le Populi transforme en atout ce qui pourrait être vu comme un problème : la sortie de la bouche du métro station Terreiro do Paço. Un peu dissimulé par le mur d’accès à la station, il bénéficie en fait d’un surcroit de discrétion.

le Populi est doté d’une vaste terrasse, avec vue sur le Tage et le regard qui englobe toutes les arcades des « marches du palais », ce que veut vraiment dire « Terreiro do Paço ».  Les larges parasols protègent du soleil qui créer des mirages sur la place. À deux pas du Quai des Colonnes (Caís das Colunas) et à trois pas de  l’embarcadère des traversiers pour la rive sud du fleuve. La terrase invite à faire une pause.

A l’intérieur du Populi, quelques tables au  rez-de chaussée accueillant, ainsi qu’à l’étage,  plus discret. A noter le beau mobilier en bois.

C’est dans l’assiette qu’il faut chercher le must populi : un choix raisonnable de plats, misant sur la qualité des produits. Nous sommes résolument dans un esprit de cuisine portugaise avec des touches  internationales, notamment italiennes et asiatiques,  qui correspondent à la place cosmopolite, touristes obligent.

Morue confite servie avec de la purée de pois chiche et chou chinois ; saltimbocca de thon aux légumes aigres-doux et huile de coriandre ; palourdes à la façon Bulhão Pato ; veau d’Alentejo nourri au gland ou bien, alternatives délicieuses, les « cataplanas » .

Salades, plateau de fromages ou de charcuterie permettent de déguster un encas.

Notre coup de cœur, les pestiscos (tapas si on veut, sur le pouce ou snack !) : tartare de thon à l’avocat sauce citron et mayonnaise de wasabi ou carpaccio de bœuf aux champignons chitake, ou encore requeijão (fromage frais de brebis, type brousse) rôti servi avec de la confiture d’oignon rouge et de tomate verte.

Question desserts, à ne pas manquer, le clafoutis de cerises à Ginja (la célèbre liqueur) ou la glace au chocolat.

Côté prix, nous ne sommes pas dans un restaurant entrée de gamme. Compter 20 à 25 euros pour un déjeuner léger ; 35 euros à la  carte avec du vin. Un rapport qualité prix qui se justifie mais qui vise une clientèle de touristes aisés.

Le restaurant figure fréquemment sur la liste des dix meilleurs de Lisbonne dans les revues anglo-saxonnes, comme USA today.

On savoure

L’emplacement, qui apporte un peu de calme sur une place très fréquentée. Le service efficace et sympathique (en plusieurs langues), et les petiscos soignés.

On grignote

La musique en fond trop sonore ! Omniprésente, elle se justifierait le soir, pas au déjeuner. Par ailleurs passer un savon à un serveur devant la clientèle, ça ne se fait pas!. La chef de rang en a convenu. Excuses acceptées.

Adresse: Praça do Comércio, Terreiro do Paço, Ala Nascente, 85-86, Baixa, Lisboa

Téléphone: 21 8877395  ; 916722753

Ouvert de 12h00 à 23h00  du lundi au vendredi et de 12h00 à 01h00 le week-end.

pour en savoir plus

http://www.populi.pt

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L'hôtel rural Quinta de novais/ Arouca.

L’auguste: l’arc de triomphe de Terreiro do Paço

 

 

belvédère des Amoreiras à Lisbonne

Le regard englobe tout Lisbonne! Un 360 º fantastique depuis le belvédère des Amoreiras, qui permet de voir aussi bien l’embouchure du Tejo côté océan, que l’hôtel Myriad au parc des Nations, situé dans l’ancienne torchère de la Cie pétrolière Galp.

Mais ce n’est pas tout.  Le regard porte loin depuis ce belvédère, vers la rive sud, jusqu’à Palmela. Le pont 25 avril parait à portée de mains,  les traversiers et les navires sont autant de points mouvants sur le fleuve.

On reconnait alors facilement les lieux emblématiques de Lisbonne la belle : le château São Jorge, le panthéon, la Basilique Estrela, le Cristo Rei, la Baixa… bien d’autres lieux qui paraissent familiers mais que l’on découvre sous un autre jour.

On accède au belvédère par un ascenseur très doux qui en 37 secondes avale les 19 étages de la Tour  1 des Amoreiras. Les machines installées jusque là au sommet de l’édifice ont été déviées et une plateforme a été construite pour permettre de déambuler à sa guise.

Les parapets en plexiglace  laissent l’accès entier à la vue tout en donnant une sensation de sécurité très appréciable.

Plusieurs tables d’orientation pour identifier les points d’intérêt sont disposées le long des parapets du belvédère.

Le panorama du belvédère des Amoreiras à 174 mètres d’altitude est le seul endroit de Lisbonne qui permet d’avoir cette portée de vue à 360 º.

La plateforme reste ouverte jusqu’à 22 h (dernière entrée à 21h30) : le belvédère offre alors une nocturne magnifique sur la capitale. (pause entre 12h30 et 14h30, mais en continu le WE). En hiver, le belvédére ferme à 18h.

Billet : 5 euros. De nombreuses réductions, et des opérations de gratuité régulière. Pour accéder au hall d’entrée de l’ascenseur, s’adresser au pôle d’informations du rez-de-chaussée (Piso 1).

En redescendant on vous invite à aller faire des achats: nous sommes dans un centre commercial, gérant du belvédère. Les Amoreiras disposent d’un parking souterrain.

http://www.amoreiras360view.com.pt/

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musée d'art MAAT

Vu du Tage, le MAAT ressemble à un œil de cétacé émergeant à peine de l’eau, et semblant suivre les curieux. Le musée joue à cache- cache pour mieux inciter à s’intéresser à l’art contemporain.

Le Musée d’Art, Architecture et Technologie est un bel écrin installé dans le quartier de Belém, dans ce qu’il est convenu d’appeler la Lisbonne monumentale.

La capitale gagne avec ce tout nouveau musée- ouvert en 2016- un élément muséologique très moderne, conçu par le cabinet d’architectes londoniens Amanda Levete.

Il n’y a pas que l’œil au ras du fleuve qui évoque un mammifère marin. Les volumes et les rondeurs du bâtiment semblent tous destinés à renforcer l’idée que l’on joue avec une baleine ou un dauphin, ou même parfois un saurien.

Les parois extérieures de l’édifice sont entièrement recouvertes de céramiques blanches comme s’il s’agissait d’écailles.

La hauteur du musée est raisonnable, car il est en fait à moitié dissimulé dans le sol.

A l’extérieur dumusée une rampe permet de grimper sur le dos de l’animal marin, et de  sa nageoire dorsale, on peut admirer le Tage qui passe sous le pont 25 avril aux allures californiennes, et se dirige vers son embouchure en s’amusant avec le phare du Bugio qui marque l’entrée dans l’Océan atlantique.

On accède au musée par une autre  rampe qui permet de descendre en pente douce vers l’ogive de la salle principale des expositions temporaires. Les salles avoisinantes, généreuses par leur taille, permettent d’accueillir toutes sortes d’expositions, centrées sur la technologie, l’architecture et l’art contemporain. L’objet même du MAAT.

La rotation des  expositions y est importante, et  3 ou 4 fois par an on peut y découvrir quelques-unes des manifestations artistiques les plus  intéressantes du moment.

Le MAAT  a la prétention de répondre à une absence constatée dans la capitale portugaise, celle d’un espace permettant les grandes expositions ou installations consacrées à ces thématiques, architecture et art, qui exigent souvent espace et emphase.

Le MAAT complète ainsi l’offre muséologique de Central Tejo, l’ancienne centrale électrique de Lisbonne. Merveilleusement conservée, elle aussi permet de se plonger dans l’art contemporain. Cet espace accueille des expositions plus « intimistes »ou plus spécialisées. Et la machinerie de la centrale proprement dite a été conservée et se visite également.

L’ensemble est géré par la Fondation EDP –Electricité du Portugal.

Le MAAT et Central Tejo sont devenus en quelques mois l’un des lieux les plus incontournables de la capitale portugaise, en lui donnant une nouvelle jeunesse.

Le musée sera bientôt relié à l’ensemble muséologique de Belém grâce à une passerelle. Il sera ainsi assez aisée de voir le musée des coches, celui d’art contemporain du CCB ou encore le délicieux musée de la marine , dans le prolongement du monastère des Jerónimos.

Accès recommandés : tram 15, bus 728

MAAT, Av brasilia

Tél :210 028 130

Ouverture: 12h-20h

Prix MAAT+ central Tejo:  9 € nombreuses réductions.

https://www.maat.pt/

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restauran tolivier au cnetre de Lisbonne

Le restaurant Olivier Avenida a changé de look…  et de nom. Désormais simplement rebaptisé “Olivier”, l’espace a gagné en simplicité et  romantisme. Les dorures et les perles ont laissé la place à du mobilier bleu et du blanc, couleurs qui  agrémentent les fauteuils « confidents », l’une des références de la maison. Le salon bar a lui conservé son allure cuivrée, mais a gagné en légereté.

Une légereté que n’est pas sans rappeler un vol dhirondelles, comme celles  en céramique qui décore le mur de séparation des deux salles principales. Un motif que l’on retrouve en rappel sur la tapisserie.

Et un ajout de taille dans le restaurant Olivier, une terrasse qui peut accueillir 35 perosnnes, gagnée sur le parking qui jouxte l’hôtel Avani (ancien Tivoli jardin) : un espace qui manquait à ce restaurant de ville, situé tout près de l’Avenida da Liberdade, et qui  pourtant échappe aux bruits de la plus célebre artère de Lisbonne.

terrasse du restaurant olivier

Le chef et homme d’affaires Olivier a su évoluer avec sa clientèle, et a choisi d’offrir une décoration plus fraiche et plus contemporaine à ses clients.

Le même principe prévaut dans l’assiette. Pour un déjeuner plus rapide ou des rencontres d’affaires, des plats de qualité mais sans extravagance pour pouvoir garder l’esprit restaurant de proximité.

Le restaurant mise sur l’esprit du partage : des plats pour deux, qui s’inspirent de l’idée des petiscos, les tapas portugaises. La rubrique du menu s’intitule  d’ailleur « pour partager ».

Excellents également, les carpaccios.

Cornets de saumon au guacamole, petits pâtés en croute de Dona Lucia ; champignons farcis aux asperges et au gorgonzola. Et des plats  principaux à base de steak, en picanha, tartare ou burger gourmet, ou pour les aficionados de poisson, l’originale  morue en croute de cacahouète, piri-piri, banane et manioc ou le combat entre poulpe et morue autour d’œufs.

Le restaurant propose un « sur le pouce » bien commode : salades ou pâtes de Tia Carolina, des en cas pour une pause entre deux boutiques de l’Avenue de la Liberté, ou deux rendez-vous de travail.

Le souci de rafraichissement se retrouve aussi dans les prix, plus adaptés au style branché et actuel d’une clientèle hyp et pressée, ou qui le fait croire.

 On savoure

L’esplanade. Les coktails au bar à l’entrée. L’emplacement , à deux pas du métro Avenida, et l’horaire élargi en soirée.

 On picore

Des prix parfois un peu exubérants : 50 euros pour une picanha.  Un bar un peu intimidant.

Olivier, Rua  Júlio César Machado, 7/9, Lisboa
1250-096 Lisboa

Téléphone   +351 213 174 105

http://www.olivier.pt

1er victoire luso anglaise contre napoléon

Vimeiro, petite bourgade près de Lourinha (à 63 km au nord de Lisbonne) est célèbre dans tout le Portugal. C’est en effet à Vimeiro que les troupes anglo-portugaises ont tenu tête  à l’armée de Napoléon.

La victoire a mis fin à ce que l’on a appelé la première Invasion Française, en 1808.

Vimeiro organise du 14 au 16 juillet une reconstitution historique de la fameuse bataille. Et propose un marché du XIXe siècle, ainsi que des repas de l’époque, des ateliers de fabrication d’objets usuels d’époque et des débats sur la bataille, et d enombreuses animations.

Pour les Portugais il s’agit du début de la seconde restauration, la première étant la reconquête sur l’Espagne en 1640.

Une suggestion pour passer un week-end différent, qui intéresse petits et grands, et permet de découvrir  un pan de l’histoire portugaise mal connu du public français.

Et puis, profitez-en pour faire un saut jusqu’à Lourinha où vers les  plages de la région

Le programme et tout ce qu’il faut savoir pour participer à la reconstitution de la bataille de Vimeiro est ici

http://batalhadovimeiro1808.pt/

L’Hôtel Casa Palmela, situé non loin de Setubal, offre une halte de charme,  au pied de la montagne d’Arrábida- 500 mètres au point culminant.

La serra de Arrábida est un joyau de verdure baigné de plages magnifiques, à une quarantaine de kilomètres au sud de Lisbonne.

Une situation privilégiée pour l’hôtel Casa Palmela, à 6 kilomètres de la réserve du Sado,  accessible par  la nationale 10,  l’hôtel casa Palmela se trouve  au cœur d’un vaste domaine agricole, Quinta de Esteval.

L’ancien manoir familial du XVIIe siècle a été transformé en Hôtel 5 *, en respectant l’architecture d’origine : seules les adjonctions de salle de bains ont modifié la belle enfilade de pièces en v, de chaque côté du hall central.  Une branche du V est plus moderne , appelée casa do jardim , la maison du jardin,  mais la décoration intérieure respecte le même esprit: chic sobre et discret.   Ces chambres dominent la jolie piscine avec vue sur la serra, sans vis à vis.

L’ancien manoir proprement dit constitue le must de l’hôtel Casa Palmela, il accueille les suites, ravissantes, dans un décor sobre, où la pierre et le bois jouent les contrastes. Des meubles anciens restaurés, et des objets discrets renforcent l’apparence luxueuse sans chichi de l’ensemble.

C’est l’un des charmes de l’hôtel Casa Palmela : il est sobre sans austérité, confortable et soigné sans excès . Ici pas 50 oreillers sur le lit, ni d’objets envahissants, lourds lampadaires ou autre dorures tape à l’œil.

A noter le choix des tissus, de belle qualité, made in Portugal, une constante d’ailleurs dans tout l’Hôtel Casa Palmela

Il est doté d’un restaurant, ouvert à la clientèle extérieure. On y sert une cuisine de terroir où les produits locaux sont valorisés. Ne vous dispensez pas d’un fromage d’azeitão, une spécialité de la région, légérement passé au four et servi avec sa compote. La carte est complète, et l’hôtel Casa Palmela  propose sa gamme de vin mis en bouteille sous sa propre étiquette et qui permet de goûter à des vins de différentes régions de production. Les vins de lSetubal sont excellents.

On peut d’ailleurs gôuter les produits locaux au « Spot »,  le bar/boutique, également ouvert au public.

A court terme l’hôtel Casa Palmela sera doté d’un spa, de deux villas indépendantes pour familles ou groupes, et d’une salle de séminaires.

L’établissement organise des évenements exclusifs aussi bien commerciaux-lancement de marques ou de  produits par exemple- que privés. Et prépare un ensemble d’activités pour ses hôtes: tour pour découvrir la région, sortie en mer avec pique-nique…etc..

On chante

La tenue soignée de l’établissement. Le chic raffiné sans excès. La piscine avec vue sur la serra.  Le choix de tissus et de vaiselle portugais.La proximité des plages et du parc naturel.

On met un bémol.

Un petit déjeuner qui mérite d’être renforcé dans la variété et les options.  Des prix un  peu élevés. L’absence de baignoire sauf dans les suites.

tous les détails sur le lien

http://www.ouh.pt/hotel-casa-palmela/

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Juin à Lisbonne c’est la fête des Saints populaires, Saints patrons, Saints tutélaires. A commencer par Saint Antoine, patron officieux de la ville, que certains ont fait de Padoue alors qu’il est né près de la Cathédrale (Santa Maria Maior).

Saint Antoine  est adoré et vénéré, et son culte est toujours très vivace.

Mais la dévotion est aussi l’occasion de fêtes et de réjouissances qui transforment Lisbonne de tout au tout.

La ville maintient la tradition populaire , qu’elle enrichit par un programme parallèle et complémentaire plus  contemporain, et diversifié.

Impossible de passer en revue les dizaines et dizaines de spectacles et évènements qui jalonnent le beau mois de juin.

Mais Lisbonne-affinités vous suggèrent quelques incontournables.

La Fête populaire

Les marches  

La nuit du 12 au 13 juin (Jour de la Saint Antoine)  sur l’Avenue de la liberté, les paroissiens- Lisbonne est découpée en paroisses, Freguesias- viennent défiler au nom de leur quartier. Les marches se préparent l’année durant. Elles font l’objet d’un concours très disputé, au cours duquel sont jugés l’originalité de la marche, l’interprétation, la qualité artistique et les costumes.  Directeur artistique et costumières ainsi que fabricants des suspensoirs sont les seules personnes rémunérées par les Juntas de Freguesias, les mairies d’arrondissements (paroisses). La tradition actuelle- vieille de 75 ans– a remis au goût du jour les coutumes médiévales d’allégeance et de cortèges. Les figurants tous amateurs s’arrêtent devant le maire pour danser, et lui remettre des petits cadeaux emblématiques du quartier. Haut en couleurs, kitsch parfois, original et amusant souvent, le défilé est l’un des temps forts des fêtes de juin.

Les arraials

C’est sur la place du village- enfin, au cœur de chaque quartier de Lisbonne- que l’on fête les Saints et la belle saison. Flonflons et bals populaires, sardines grillées et tonneaux de bière….l’important est d’être dehors, de s’empiffrer de sardines au moment où elles sont excellentes, de danser et de chanter. Il y a des arraials pour tous les goûts. Ils sont réglementés et ont fait l’objet d’une autorisation municipale.

Sachez cependant que de nombreux arraials privés voient le jour à cette occasion : des extensions des bars et restaurants qui voient là une excellente manière de quadrupler le chiffre d’affaires. Petit bémol : les files d’attente et les sardines…congelées l’année précédente.

Par ailleurs, Lisbonne ville tolérante organise un arraial Lisboa pride. Pour la 21e année consécutive l’arraial LGBT s’installera sur la Place du commerce (Terreiro do paço) le 24 juin.

Le manjerico, boule verte de basilic

La petite boule de basilic est un porte bonheur. Apprécié des Romains pour son parfum entêtant chasseur de moustique, c’est la version décorative que l’on s’offre au moment des fêtes de la saint Antoine et des Saints Populaires. La tradition veut que l’on se contente de passer la main à quelques centimètres au-dessus de la plante sentir sa main, pour ne pas abimer le basilic. Il ne se mange pas, mais c’est un gage d’amour et de passion.. Tout comme elle, il est  fragile

Les trônes de la Saint Antoine

En 2015, la mairie a remis au goût du jour la  tradition des trônes de Saint Antoine  qui remonte au XIIIe siècle. Il s’agit de confectionner avec ce que l’on a sous la main un trône en hommage au Saint protecteur.  Pas de vainqueur ni de perdant…juste le plaisir de participer.

Les Spectacles

Fado au château

Les 8,9 et 10 juin….le fado s’installe au château, à 22 heures.  Cette année le Fado au château aura une saveur spéciale en présentant trois spectacles uniques ou la musique traditionnelle de Lisbonne sera associée au chorinho , au tango et au flamenco, trois musiques « sœurs » pour voyager en regardant Lisbonne à ses pieds.

Soy Loco por ti, America

Du 16 au 19 juin, la poésie, la littérature et les contes  mais aussi la musique donnent rendez-vous aux spectateurs, au Musée de la Ville, situé au Palais Pimenta. Avec bien sûr pour ligne directrice l’Amérique Latine, pour faire le lien avec Lisbonne capitale Ibéro Américaine de la culture. Le 15 juin, à ne pas manquer, l’immense péruvienne Susana Baca, à 22 heures.

 Festival des chœurs d’été.

Du grand art, celui des chœurs et chorales, durant 4 jours du 23 au 26 juin. Quelques 23 formations de 7 pays cette année: Allemagne, Israël, Espagne, Singapour, Pologne, Estonie et bien sûr Portugal. Les lieux qui accueillent les chœurs sont eux-mêmes emblématiques, le cloitre du monastère des Jeronimos à Belém, ou  le château Sao Jorge encore lui. L’idée est qu’un plus grand nombre de spectateurs puissent en profiter. C’est un concours, avec jury international, comme il se doit.

Un festival de Tango, du Jazz en plein air, du cinéma sur grand écran, des soirées littéraires, des orchestres dans la rue, des musées en fêtes (13 juin musée Vieira da silva ), des felouques du Tage devant le quai des colonnes (Terreiro do Paço) le 17 juin, jour de la marine…..complètent cette programmation riche et variée.

Pour être sûr de ne passer à côté d’aucun de ces beaux moments, consultez le programme ici, en portugais et en anglais

 

http://lisboanarua.com/festasdelisboa/

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